Afin de remercier l’équipe municipale et les Cornillonnais pour leur accueil, le sculpteur polonais Igor MITORAJ, résidant périodiquement au Château de Confoux, a souhaité offrir à notre commune une de ses œuvres d’art : une sculpture en bronze issue de sa période artistique sur la nouvelle mythologie : IKARIA, la Victoire.
Cette œuvre s’inspire de la mythologie grecque et représente avant tout un travail poétique sur la mémoire de l’héritage de nos origines gréco-latines, marqué par l’inguérissable nostalgie du paradis perdu des Grecs anciens. La sculpture IKARIA la Victoire, a été réalisée par l’artiste en 2001.
L’artiste a souhaité qu’elle soit présente sur la Place de l’église du village pour parachever une image, celle des « trois femmes de Cornillon », porteuse chacune d’une symbolique, complémentaire à ses yeux :
- la Pureté de la Vierge Marie
- la République de Marianne
- la Victoire d’IKARIA
Construite au 12e siècle, de style roman, profondément remaniée depuis. | ||
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Mur peint réalisé par le groupe 7ème Sens |
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Hommage à Adam de Craponne (1526-1576), gentilhomme provençal et ingénieur français qui construisit entre 1557 et 1558 le canal qui porte son nom, qui permit d'irriguer la Crau avec de l'eau provenant de la Durance. |
Avant | Après |
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L’année même où s’achevait son grand canal, en 1559, Adam de Crapponne fit exécuter le percement d’une colline près de son pays natal. Des eaux stagnantes rendaient impraticable la petite plaine adossée à la colline qui est à l’Est de Cornillon : on l’appelle le Cros du Lys. Crapponne leur donna un débouché artificiel à travers la montagne et la conduisit de là jusqu’à la Touloubre, à l’Ouest de la montagne. |
Pinceau d'Or 2011 |
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Pour la sixième année consécutive, le site des trompe-l’œil et des fresques murales |
Chapelle romane, construite au 11e siècle par les moines de Montmajour, près d'une nécropole salienne datant du 1er siècle avant J.-C. Sur les faces ouest et sud de la chapelle se trouvent deux stèles funéraires d'époque romaine en remploi.
En 1964, en creusant un nouvel accès au cimetière, neuf sarcophages d’une nécropole paléochrétienne furent découverts. | ||
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Jardin paysager à l'entrée du cimetière | Allée des sarcophages | Tombeau salyen |
À l'extérieur de l'église, la vierge « enceinte » accueille le passant. Érigée en 1865, elle portait au début du siècle une couronne de douze étoiles.
Construit au 15e siècle, remarquable par ses voûtes en arêtes et en berceau, il logea jusqu'à deux prêtres avant d'être transformé en meublés de tourisme. | |
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Construite en 1852, elle prit quelques rides lors du tremblement de terre de 1909.
Le restaurant a quant à lui abrité le four communal.
Château probablement construit au 12e siècle par les moines de Montmajour, contre le deuxième mur d’enceinte. | |
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La salle du Conseil Municipal et des Mariages |
Véritable patrimoine de la commune, les lavoirs étaient au nombre de cinq : le lavoir du Village, de la Glacière, de Pont-de-Rhaud, de la Cassade et du Lys. Ils ont été construits à la fin du 19e siècle. Les Romains furent les premiers à irriguer la plaine de Confoux, œuvre complétée par Adam de Craponne. | ||
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Lavoir du Village | Lavoir Saint Raphaël | |
Lavoir de la Glacière | Lavoir de Pont de Rhaud |
Que ce soit pour un moment de détente, pour admirer le point de vue extraordinaire offert par ces espaces ou tout simplement pour se mettre en forme, les espaces verts de Cornillon-Confoux s'offrent tout entiers à vos envies. | ||
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Les bories sont des constructions en pierres sèches. |
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Le principal mur d’abeilles de Cornillon-Confoux est constitué de 56 niches sur une longueur de 60 mètres. C’est le deuxième en importance en France. Ses niches (sûrement plus de 200 à l’origine) contenaient des essaims d’abeilles permettant une exploitation commerciale du miel et de la cire. Il s’intègre à l’ensemble des murs de pierres sèches et des bories qui jalonnent notre commune. | |
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Construit au 17e siècle, il est situé au pied de l'éperon rocheux, côté sud-est. Des tessons de céramique gallo-romaine attestent de l'existence d'un site archéologique.
L’origine du mot « Confoux » vient du fait que deux plaines, passant l’une au Nord et l’autre au Sud du village de Lançon, viennent se joindre en cet endroit. Le château de Confoux est un ancien château-fort probablement construit au 13e siècle. Les habitants s’y installèrent autour. C’est une vaste construction qui comprenait une église de style roman.
Elle prend sa source à Venelles, longe le massif de la Trévaresse, traverse la Barben et Pélissanne suivant un tracé d'est en ouest. Subitement rejetée vers le sud-est à Grans, les escarpements de son lit dépassent les 50 m en aval de Pont-de-Rhaud. Après un parcours de 65 km, elle se jette dans l'étang de Berre.